Ça sent la nouveauté à plein nez pour cette semaine …
Rémi Chapeaublanc est un ami, un voyageur, un mangeur de nutella avec les doigts, un gars qui se lève à l’heure du goûter….. mais surtout il produit un travail photographique que j’apprécie beaucoup.
Il y a quelques mois, il est parti 3 mois au Népal pour y prendre une énorme expérience humaine mais aussi pour y réaliser une série photo: « Touriste »
« Cette série, composée de 16 diptyques, est le fruit d’une réflexion personnelle sur le sens réel de la découverte et la place du touriste dans son voyage. Elle a été réalisée au Népal pendant une errance de 3 mois, sans itinéraire prévu. Elle a pour but d’interroger le spectateur sur sa propre identité en tant que touriste, le plaçant tantôt dans un rôle d’observateur et d’observé. Chaque diptyque présente deux visions d’une même personne, mettant le spectateur face à son choix inconscient sur la manière d’aborder cet inconnu. »
Vous pouvez déjà télécharger le communiqué de presse ou visiter le projet Behance, je vous tiendrais vite au courant dès que j’aurais une date officielle pour exposer les tirages !
L’exposition My Love Letters se déploie sur les trois niveaux de la Galerie Celal et donne beaucoup d’œuvres inédites à voir au public : des peintures sur toile, des photos, une installation sous forme de chambre d’hôtel, des sculptures, et même une reconstitution de chapelle avec ses vitraux.
Une exposition post-graffiti qui s’inscrit dans la semaine de l’art contemporain à Paris.
Durant tout le mois d’octobre, le tarif des impressions sur toiles format 50/50cm a été réduit de 15%. Pourquoi? Juste comme ça, parce que j’ai envie, et parce que je me dit que ça ne devrait pas vous déplaire!
Le 31 octobre à minuit, pouf, ça sera terminé.
Je retourne à mon café extracteur de coma. Ce week-end, je serai à Barcelone: la vie est belle, je vous le dis.
On me l’a parfois fait remarqué, demandé, reproché… il n’y avait rien à moi dans la boutique d’artistes. Il n’y avait pas de raisons particulières, simplement l’envie de d’abord éditer d’autres personnes autour de moi.
Mais c’est maintenant chose faite, je vous propose une édition ultra limitée (3 exemplaires) et signée de mon illu « La Cage ». Elle est imprimée sur du Hahnemühle Museum Etching (350 g/m² · 100% Coton · blanc nature): en gros, la rolse des papiers.
Je me suis fait plaisir en espérant vous faire plaisir.
tratratrataraararararrarrararararra…. et le gagnant est? ….. (A ce moment je sens Philippe Risoli résonner en moi, c’est une expérience particulière…)
Le 59. Morguy repart donc avec une impression sur toile 30/30cm. Morguy, je te maile en début de semaine.
Vous avez tous vraiment assuré, merci! Je pense renouveler de temps en temps ce style de concours en variant les plaisirs.
La photo du plus beau:
C’est vendredi, on a pas envie de bosser: moment idéal pour lancer un concours pas trop compliqué.
Allez, j’offre une toile 30/30cm si nous arrivons à 100 commentaires sur cet article avant ce soir minuit.
Les règles: Il faut donc arriver à 100 commentaires d’ici cette nuit mais un seul commentaire par personne (je sais vérifier…). Le but sera donc d’en parler autour de vous afin d’arriver à 100 commentaires.
Je demanderai à mon fils (6 ans) d’inscrire un nombre entre 1 et 100 sur un papier sans rien lui expliquer. Le commentaire correspondant à ce nombre repart avec une impression sur toile. Je prendrai une photo du nombre pour preuve.
Bon, je n’ai pas fait trop compliqué. Chacun a sa chance, il vous suffit d’en faire la pub (twitter, blogs, facebook…). A vous de jouer!
Le soleil commence à furieusement se coucher tôt, je termine l’envoi des commandes pour aujourd’hui, Nancy Sinatra résonne à fond dans la maison et le mojito ruisselant est à moitié vide… (ou moitié plein).
Et là, je me pose et je savoure.
Je savoure ce petit moment, mais aussi ces projets qui prennent forme (tant personnels que pro). Le service d’impression a repris son rythme de rentré, 3 nouveaux artistes rentrent bientôt en boutique, ce sera 3 sérigraphies. Je me suis fait plaisir sur le casting, ça devrait vous plaire!
La vie est belle mes gangtas
Elodie Ledure, photographe liégeoise, axe une grande partie de son travail sur l’absence, le rien, le vide, le silence. Et tout cela avec un je ne sais quoi de touchant, très sincère et presque intime.
